De la même manière que le pour le secteur du vin, les spiritueux ont été affecté par l'épidémie de Covid-19. Le marché chinois semble s'adapter à la situation.
Une mise à jour du cadre pour les mesures d'aide à la promotion du vin dans les pays tiers vient d'être dévoilé par FranceAgrimer.
Selon les chiffres de l'Agence Bio, en 2019, la consommation de boissons alcoolisées bio a augmenté de +6%, notamment grâce à la Grande Distribution. De plus, l'agriculture biologique permet la création de nouveaux emplois.
La tendance initiée par la crise sanitaire d'un impact sur les expéditions de vin se confirme. En mai 2020, le Comité Champagne estime à -56% le nombre des expéditions de Champagne par rapport à mai 2019.
Retrouvez des chiffres détaillés sur l'article de Sophie Claeys.
Les études se succèdent pour déterminer l'impact du Covid-19 sur le secteur des vins et spiritueux. Selon IWSR, la consommation d'alcool a baissé de 12% du fait de la crise sanitaire et que les chiffres de la consommation mondiale ne pourraient retrouver le niveau de 2019 qu'en 2024.
Alors que le début de l'année 2020 était marqué par l'entrée en vigueur d'une taxe douanière dirigée contre les vins européens, le risque de subir une nouvelle pénalité tarifaire est imminent.
La crise du Covid-19 a produit de lourdes conséquences sur le secteur des vins. La reprise progressive du commerce entraîne aussi des inégalités entre les vins européens, et la Suisse demande à l'OMC d'intervenir.
La crise sanitaire a tendance à faire flancher les ventes de boissons alcooliques. Mais lorsque l'on observe la situation dans le monde, il apparaît que chaque pays a réagit différemment à l'épidémie.
Avec la fin du confinement, la tendance marquée de la diminution des ventes d'alcool semble s'inverser, notamment en grande distribution.
Avec la crise sanitaire, la vente de vin en ligne prend de l’essor. Mais cette pratique est très juridiquement encadrée. Vitisphere propose de rappeler quelques points clés de l'exercice pour éviter les ennuis légaux.