Selon un arrêt de la Cour d'appel de Caen, l'exonération partielle des droits de succession des biens ruraux loués à long terme ne doit pas être mise à mal en cas d'apport par les héritiers de parcelles à destination du groupement foncier agricole.
La Cour de cassation a rendu un arrêt en novembre 2020 au sujet des clauses réputées non écrites, notamment sur les clauses contraires à l'article L. 145-15 du Code de commerce.