Le changement climatique est un sujet particulièrement d'actualité au sein de la filière vin. Il est une source de préoccupation majeure et la recherche s'intéresse aux solutions à apporter. Bien que l'impact du changement climatique n'est pas clairement arrêté, la filière prend des mesures d'adaptation et de réduction de l'impact sur l'environnement.
Les craintes de la filière face au changement climatique sur vitisphère.
Les solutions mises en place pour y faire face sur vitisphère.
tdl 10 minutes Il est indéniable qu’en quelques décennies, le changement climatique a pris une place centrale au sein de la politique mondiale. En réponse à ces événements, le droit se doit de s’adapter pour s’inscrire dans la réalité pratique.
À l'heure du développement d'idées permettant de réduire l'impact du secteur vitivinicole sur l'environnement, la question du traitement du contenant est au centre des attentions. Bien que le recyclage des bouteilles en verre soit assuré efficacement, le réemploi pourrait à terme se montrer plus efficace.
La Champagne a développé et poursuit la mise en place d'initiatives de lutte et d'adaptation contre le changement climatique. Plusieurs projets d'envergure continuent de voir le jour.
La problématique du changement climatique affecte tous les producteurs de vins. Les réponses apportées varient tant sur leur efficacité que leur popularité. C'est notamment le cas des câbles enterrés dans le vignoble pour lutter contre le gel.
Le développement des travaux de rechercher sur les cépages résistants a conduit à la création de plusieurs variétés résistantes aux maladies de la vignes comme le mildiou ou l'oïdium. La Champagne est le premier vignoble en AOC a expérimenter ces variétés.
La question occupe depuis quelques années les esprits des équipes de chercheurs : quelles solutions peuvent permettre à la viticulture de réduire son impact sur l'environnement ? Sachant qu'il est estimé que la confection d'une bouteille de vin produit 1 à 3 kilogrammes de CO2 rejeté dans l'atmosphère, la question est légitime.
Bien que le gel de printemps ait été catastrophique pour de nombreux producteurs, un arrêté ministériel vient mettre du baume au cœur des vignerons juraciens. En effet, le statut de calamité agricole a été reconnu pour cet évènement, ce qui ouvre notamment à des indemnisations.
Voici la question que se pose le blog ni bu ni connu et à laquelle le Comité interprofessionnel des Vins de Bordeaux tente de répondre par un graphique.
La récolte de cette année nous le montre : le dérèglement climatique a déjà commencé à porter ses effets destructeurs. Pour entraver le changement climatique à leur niveau, les acteurs de la filière se mobilisent.